
Fraîche ou sèche, la noix de coco se consomme nature, râpée, en copeaux, intégrée à de nombreuses idées de desserts, mais aussi des recettes plats – souvent exotiques – de poulet et poisson, notamment. S’il faut savoir la doser, elle est appréciée pour sa saveur douce.
Poussant en grappe, la noix de coco est le fruit du palmier (cocotier), arbre de haute taille pouvant atteindre 20 m et nécessitant un environnement ensoleillé. Elle atteint sa maturité entre 9 et 12 mois, peut être récoltée tout au long de l’année dans ses contrées de production (Asie du Sud-Est, Polynésie, Guyane, Mayotte, La Réunion…) et se conserve plusieurs semaines, voire plusieurs mois, à température ambiante. Ou quelques jours au froid une fois ouverte.
Découverte par Marco Polo
Fraîche, on la trouve plus particulièrement pendant la pleine saison, entre novembre et février. Mais elle se consomme souvent séchée, râpée ou en poudre. Marco Polo l’avait découverte à la fin du XIIIe siècle (il l’appelait « la noix du pharaon ») et ramenée en Europe, mais c’est seulement au XVIIe siècle que Charles Perrault présenta la première noix de coco à l’Académie française. Elle est d’une valeur énergique élevée, mais ne se consomme pas forcément en grande quantité. Elle est riche en minéraux, vitamines et fibres, se consomme juste croquée en dessert, intégrée à un plat ou un gâteau, en en-cas… Les cuisines indonésienne, indienne, africaine ou encore sud-américaine n’hésitent