
A l’époque moyenâgeuse, la gastronomie était quelque peu différente.
Loin des clichés que l’on peut avoir, cette cuisine médiévale était tout de même sophistiquée et pleines de saveurs grâce aux nombreuses épices qu’elle mettait en œuvre. Très souvent, l’ingrédient acidulé (vin, vinaigre, verjus…) était mélangé avec un élément sucré (miel, sucre…). Le pain ou la poudre d’amande étaient notamment utilisés pour lier les sauces.
A l’heure du repas, tous les plats étaient déposés sur la table et chacun pouvait en disposer à sa guise, sans ordre précis de dégustation.
Autant d’us et coutumes à redécouvrir dans les pages qui suivent.
Bon appétit gentes dames, damoiselles et damoiseaux !
Ces menus ont été élaborés à partir des recettes et des produits de la base de données AIDOMENU en conformité avec les tableaux de fréquence de présentation des plats de la recommandation du GEMRCN et des textes réglementaires. Pour les menus « scolaire » et « entreprise », les choix sont également pris en compte dans la grille des fréquences en faisant un rapport sur 20.
Les menus sont chiffrés à partir de la veille tarifaire établie par SARA, du mois précédent leur publication, et applicable en exclusivité à ses adhérents. La perte à la mise en oeuvre, mais aussi les pertes à la cuisson sont prises en compte pour la détermination des poids bruts à commander, mentionnés dans les